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SENEGAL: Ousmane Tanor Dieng, le parcours d’un homme d’Etat

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SENEGAL: Ousmane Tanor Dieng, le parcours d'un homme d'Etat

La classe politique sénégalaise traverse un des moments les plus difficiles. Et ce lundi 15 juillet 2019 restera à jamais dans les écrits de l’histoire du pays. En effet, il s’agit de la disparition du président du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), Ousmane Tanor Dieng  à Bordeaux (France) des suites d’une longue maladie. Ousmane Tanor Dieng est un homme politique sénégalais, né le 2 janvier 1947 à Nguéniène et mort le 15 juillet 2019 à Bordeaux.

Parcours d’un administrateur

Ousmane Tanor Dieng a obtenu sa licence en droit à l’université de Dakar (option Relations internationales) et un DES en droit public. Il est également diplômé de l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), option Diplomatie, et de l’École supérieure des travaux publics (ESTP).

C’est en 1976 qu’il commence son service au sein de l’administration sénégalaise où il occupe successivement les fonctions de conseiller chargé des affaires internationales au ministère des Affaires étrangères (1976-78), conseiller diplomatique auprès du président Léopold Sédar Senghor (1978-81), puis auprès du président Abdou Diouf (1981-88). En 1988, il est nommé directeur de cabinet, puis ministre-directeur de cabinet auprès du président Diouf, poste qu’il occupera jusqu’en 1993, année où il est nommé ministre d’État, ministre des services et des affaires présidentiels.

Au sein du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng est membre du bureau politique dès 1988. En 1995, il est secrétaire général de la coordination départementale de Mbour, de l’union des coordinations de Mbour et de l’union régionale de Thiès. C’est en mars 1996 qu’il est nommé premier secrétaire du Parti socialiste et secrétaire national aux relations internationales.

Parallèlement à ses fonctions au Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng est, depuis septembre 1996, vice-président de l’Internationale socialiste.

Membre du bureau politique du Parti Socialiste dès 1988, c’est en 1995 qu’il est élu secrétaire général de la coordination départementale de Mbour et de l’Union régionale de Thiès.

La Présidence, un rêve qui ne sera jamais réalisé

Secrétaire général du Parti socialiste sénégalais, formation qui, au travers des anciens présidents de la République Léopold Sédar Senghor et Abdou Diouf, a gouverné le pays de 1960 à 2000, il se présente à l’élection présidentielle du 25 février 2007, pour laquelle il était présenté, durant la campagne électorale, comme l’un des seuls candidats, avec l’ancien Premier ministre Idrissa Seck, à pouvoir réellement « menacer » la réélection du président sortant Abdoulaye Wade.

Ayant remporté, selon les résultats définitifs du premier tour de scrutin proclamés le 11 mars 2007 par le Conseil constitutionnel, 464 287 voix, soit 13,56 % des suffrages exprimés, il conteste en vain la validité du scrutin, qui a vu la réélection du président Wade dès le premier tour.

Ousmane Tanor Dieng est l’un des candidats en lice pour l’élection présidentielle sénégalaise de 2012. Il récolte 13,56 % des voix au premier tour, et appelle à voter pour Macky Sall contre Abdoulaye Wade.

Formation académique et diplômes obtenus

  • Diplômé de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM) (Option Diplomatie)
  • Diplômé de l’Ecole Nationale des Travaux Publics
  • Diplôme d’Etudes Supérieures (D.E.S.) : Droit public
  • Licence en Droit : Option Relations internationales

Fonctions administratives

  • Député à l’Assemblée Nationale,
  • Président du Groupe parlementaire Socialiste
  • Ministre d’Etat, Ministre des Services et des Affaires Présidentiels
  • Directeur de Cabinet, puis Ministre Directeur de Cabinet du Président Abdou Diouf
  • Conseiller diplomatique du Président Abdou Diouf
  • Conseiller diplomatique du Président Léopold Sédar Senghor
  • Conseiller chargé des Affaires internationales au Ministère des Affaires étrangères (Division Afrique, Division ONU, Secrétariat Général)

Fonctions politiques

  • Membre de la Commission « Ethique » de l’Internationale Socialiste
  • Vice-Président de l’Internationale Socialiste & Président du Comité Afrique
  • Secrétaire Général du Parti Socialiste du Sénégal
  • Secrétaire National aux Relations internationales
  • Secrétaire Général de l’Union Régionale P.S. de Thiès
  • Secrétaire Général de l’Union des Coordinations P.S. de Mbour
  • Secrétaire Général de la Coordination Départementale PS de Mbour
  • Secrétaire Général de la Section P.S. de Nguéniène
  • Secrétaire Général du Comité P.S. Las-Palmas à Nguéniène
  • Membre du Bureau Politique du Parti Socialiste

Ousmane Sonko: «Il nous faut une élite décomplexée»

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PRESIDENT OUSMANE SONKO

Pierre Atépa Goudiaby a initié un projet dénommé « la nouvelle route de l’Acier et de l’Aluminium ». Ledit projet vise à renforcer les capacités industrielles en Afrique notamment dans la sous-région, afin de se mettre sur les rails du développement.

Ce vendredi 24 mai, la cérémonie du lancement de cette nouvelle initiative, s’effectuait avec la présence de plusieurs acteurs politiques, dont Ousmane Sonko. Ce dernier trouve ce projet très intéressant dans la mesure où il permet à l’Afrique de se « décomplexer » et de tendre vers le « développement.« Nous aurons à porter cette dynamique pour contribuer à nous décomplexer et sortir de cette mentalité du dominé pour se lancer vers le développement », a déclaré le leader de PASTEF/les patriotes. Par ailleurs, Ousmane Sonko estime « qu’en matière de soutien ou d’accompagnement dans ce projet, l’État doit montrer son impact en s’impliquant dans les enjeux d’ordre national. »

Me Mbaye Gueye très furieux contre Me Sidiki Kaba

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C’est à croire que l’affaire Khalifa Sall n’a pas encore fini de révéler tous ses secrets. Alors que l’ex-maire de Dakar est jugé et condamné dans le cadre de l’affaire dite de la Caisse d’avance de la Municipalité, le Bâtonnier de l’ordre des avocats a fait ce jeudi, une révélation surprenante. Notamment concernant le retard sur l’application de l’Article 5  Règlement n°5 de  l’Uemoa.

Me Mbaye Guèye accuse l’ancien ministre de la Justice, Sidiki Kaba d’être à l’origine de «ce désordre judiciaire». D’après lui, il a essayé de «gagner du temps dans l’application de ce règlement, prétextant vouloir introduire une réforme du code de procédure pénale».Me Mbaye Guèye rappelle que «lorsque Khalifa Sall a été convoqué, il a été mis dans une salle et lorsque son avocat, Me El Hadji Diouf est arrivé, il a été empêché de le voir. Or, poursuit-il, «ne pas dire à l’accusé qu’il a droit à un avocat, entraîne la nullité de la procédure, à plus forte raison ne pas lui commettre un avocat». C’est comme ce qui s’est passé avec le cas  Thione Seck. Le juge du tribunal correctionnel de Dakar a prononcé, jeudi dernier, l’annulation de toute la procédure relative à l’affaire des faux billets pour laquelle il était jugé, informe actusen. Le Magistrat Maguette Diop a rendu ce jugement, en application du règlement n° 05 de l’Uemoa du 25 septembre 2014, relativement aux nouvelles compétences de l’avocat, exigeant que les prévenus soient assistés d’un avocat.

7 TV: Adja Astou présente ses excuses à la communauté Pulaar

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Après les propos d’une extrême gravité à l’endroit des Toucouleurs, Adja Astou, principale concernée et sa directrice générale et le personnel de la 7 TV demandent pardon à l’ensemble de la communauté blessée par cette énormité.

Pour rappel Adja Astou Cissé, a dérapé grave. Elle a commis l’erreur d’avancer que le viol est plus fréquent chez la communauté pulaar (les al-pulhars). Les faits se sont déroulés avant-hier. Face à cet état de fait, la directrice générale Maimouna Ndour Faye sera convoquée ce samedi à la Dic afin d’apporter des explications sur les propos tenus par l’une de ses employés.

Thiantacounes: Serigne Saliou Thioune convoque à Mermoz et Aida Diallo à Médinatoul Salam

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Succession de Cheikh Béthio Thioune: Le Khalife des Mourides a fait son choix

La guerre de succession chez les Thaintacounes est loin de s’estomper malgré l’intronisation de Serigne Saliou Thioune comme guide des Thaintacones par le Khalife des mourides.

Selon L’Observateur, le fils aîné du défunt, Serigne Saliou Thioune Gueule Tapée convoque, aujourd’hui à Mermoz, une importante rencontre avec les talibés pour les entretenir de l’héritage du Cheikh et de sa feuille de route.

Dans le même temps, souligne le journal, Sokhna Aïda Diallo, qui jouit d’une aura indéniable auprès des disciples de son défunt époux, compte battre, elle aussi, le rappel de ses troupes dans le fief des Thiantacounes, à Médinatoul Salam, dans le département de Mbour.

France: Un sénégalais retrouvé mort et pendu

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Le corps sans vie de Mamadou Kébé, 38 ans, a été retrouvé pendu au bout d’une corde, sur une aire de jeu du parc Aimé-Césaire à Corbeil-Essonnes, en France. La découverte macabre a eu lieu vendredi dernier, renseigne Libération.

Mamadou Kébé a été cité à plusieurs reprises dans le dossier concernant les achats de voix supposés, lors des élections municipales de 2009 et 2010, à Corbeil-Essonnes. Sénégalais d’origine, il avait bénéficié de plusieurs «dons» de Serge Dassault, maire de Corbeil jusqu’en 2008.

La justice Française s’interrogeait si cet argent, plus d’un million d’euros, a pu servir à acheter des votes pour faire élire Jean-Pierre Bechter, proche de Dassault, au poste de maire de Corbeil. Le milliardaire, décédé le 28 mai dernier, disait lui avoir donné 1,2 million d’euros pour qu’il cesse de le harceler lui et sa famille.

Originaire du quartier des Tarterêts, Kébé était parvenu à pirater la messagerie téléphonique de Serge Dassault et avait ainsi eu accès, à l’époque, aux messages laissés par certains ministres tels que Brice Hortefeux ou Jean-François Copé. Il avait été mis en examen pour tentative d’extorsion de fonds et appels malveillants.

Kébé serait rentré ruiné de Belgique pour vivre à Tarterêts. La piste du suicide est plus plausible, indique Libération. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les causes de la mort. Il sera procédé à une autopsie du corps. 

A l’unisson, les musulmans du Sénégal célèbrent la Korité, ce mercredi

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Les musulmans du Sénégal célèbrent ce mercredi l’Aïd el fitr ou Korité, la fête marquant la fin du mois de jeûne du ramadan.

Fait majeur cette année, la communauté musulmane célèbre l’Aïd le même jour alors que la Korité est souvent fêtée en deux jours selon les différentes commissions d’observation du croissant lunaire.

Conformément à la tradition islamique, la journée de fête est marquée par des prières dans les mosquées ou dans des lieux pouvant recevoir de nombreux fidèles.

A Dakar, le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye, va effectuer la prière à la grande mosquée.

Avant la prière, les musulmans sont tenus de s’acquitter de l’aumône appelée zakat- al-fitr destinée aux plus démunis.

Sortie du FCFA : la France demande aux Etats africains de se décider

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La sortie du FCFA est revenue sur le tapis depuis l’élection du président Bassirou Diomaye Faye qui en a fait un thème de campagne. Interrogé sur la question, Stéphane Séjourné, ministre français des Affaires étrangères, pense que la France a déjà joué sa partition dans le processus de la sortie du FCFA et qu’il revient aux Etats africains de prendre leur responsabilité.

Sortie du FCFA : « Nous avons fait notre part du chemin en sortant de la gouvernance du franc CFA », Stéphane Séjourné

Plusieurs années déjà que le débat de la sortie du FCFA des pays africains de la zone franc CFA se fait sans action concrète. À un moment donné, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a pris le devant des choses avec la proposition d’une nouvelle monnaie dénommée « Eco ». Depuis cette phase, c’est silence radio. Pendant ce temps, la France, qui est accusée de tirer les ficelles dans l’ombre pour faire échec au projet, s’en lave les mains.

Nous avons fait notre part du chemin en sortant de la gouvernance du CFA. Maintenant, aux États africains de décider.Stéphane Séjourné

Selon le patron de la diplomatie française, il revient aux Etats africains, notamment de la partie ouest de prendre leur responsabilité pour la réalisation effective du projet. « Si les pays africains se mettent d’accord pour changer le nom, organiser différemment leur organisation monétaire, c’est de la souveraineté des États. Nous voulons bien accompagner ce mouvement. S’il s’agit uniquement du symbole du nom, il peut être changé. S’il s’agit d’une organisation différente de l’organisation monétaire, elle peut également être changée », a-t-il confié dans une interview accordée à France 24 et RFI.

Un projet prioritaire pour Bassirou Diomaye Faye

La sortie du FCFA est un projet cher pour le nouveau président Sénégalais. Pour lui, il s’agit d’une question de souveraineté qu’il doit être résolue. Il compte actionner à nouveau le processus de création de la monnaie Eco au niveau de la CEDEAO pour faciliter la transition après la sortie du FCFA.

Bassirou Diomaye Faye a d’autres cartes dans son sac. Si le projet Eco ne prend pas, il envisage de procéder autrement en ce qui concerne son pays, le Sénégal.

L’Eco, une réalité d’ici 2027 ?

La monnaie unique Eco devrait être lancée avant 2027 selon l’agenda établi. Lors du 59e sommet ordinaire de la CEDEAO tenu au Ghana, Jean-Claude Kassi Brou, président de la Commission de la CEDEAO, avait déclaré : « Nous avons une nouvelle feuille de route et un nouveau pacte de convergence qui couvrira la période 2022-2026, et 2027 étant le lancement de l’Eco ».

Selon certains économistes, cet espoir suscité va devoir affronter des obstacles. Le Sénégalais Malick Sané s’inquiète du cas des pays hors UEMOA. Dans un entretien à accordé à BBC, il a évoqué l’exemple du Nigeria, qui comme d’autres pays, devraient converger leurs économies pour la concrétisation de l’Eco dans l’espace CEDEAO.

Faire converger une économie comme celle du Nigéria, qui est le pays leader, largement leader par rapport aux autres pays, pose un problème et surtout des problèmes techniques. Vous voyez déjà, du point de vue de la démographie, le Nigéria c’est 270 millions d’habitants alors que les autres pays tournent autour de 20 millions d’habitants.Malick Sané, économiste sénégalais ; BBC (juin 2021)

Il évoque le leadership du Nigeria dans la production et l’exportation de l’or noir dans la zone ouest-africaine, le taux d’inflation qui s’établit jusqu’à deux chiffres et le manque de courage du Nigeria face aux « coûts économiques et sociaux » pour entrainer les autres pays vers le haut. Malick Sané a invité le Nigeria à prendre plus d’engagements afin que l’Eco soit une réalité d’ici 2027 pour une sortie du FCFA.

Monnaie unique de la Cedeao: L'Eco, est-t-il un projet mort né ?

Mahammad Boun Abdallah inhumé à Touba

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La levée de corps du Premier Ministre Mahammad Boun Abdallah Dionne est prévue, mercredi 10 avril à 12h00 à la morgue de l’hôpital Principal suivie de l’enterrement à Touba. Il est décédé vendredi dernier à Paris des suites d’une maladie. 

Pour rappel, Mahammad Boun Abdallah Dionne était candidat à l’élection présidentielle du 24 mars 2024 et a dû stopper sa campagne électorale pour des raisons de santé.

COMMUNIQUE DU CONSEIL DES MINISTRES DU MARDI 09 AVRIL 2024

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Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 09 avril 2024 au Palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, Son Excellence, Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE. 
A l’entame de sa communication, le Président de la République a saisi l’occasion de ce premier Conseil des ministres après sa prestation de serment le 02 avril 2024, pour exprimer, encore une fois, sa reconnaissance infinie et sa profonde gratitude au Peuple Sénégalais, qui lui a fait confiance, avec son élection au premier tour avec 54, 28 % des suffrages exprimés. Ce qui dénote de l’espoir 
immense placé au PROJET collectif défendu pour un Sénégal Uni, Souverain, Juste et Prospère. 

Le Chef de l’Etat a, à cet égard, salué la maturité du Peuple sénégalais et sa volonté manifeste de soutenir une rupture en profondeur ; d’accompagner une transformation du système à tous les 
niveaux de la vie économique et sociale du pays.

Le Président de la République a remercié et félicité tous ses compagnons et soutiens pour 
l’engagement historique exceptionnel, la résilience et le courage qui ont permis cette alternance inédite, acquise de haute lutte avec tant de sacrifices. 

Le Chef de l’Etat a ainsi félicité Monsieur Ousmane SONKO, nommé Premier Ministre de la République du Sénégal. Il a magnifié sa posture de patriote et son travail au quotidien pour la préservation des idéaux partagés afin de consolider la souveraineté et le rayonnement du Sénégal. 

Le Président de la République a en outre félicité les 25 ministres et les 5 secrétaires d’Etat, membres du Gouvernement de Résultats, nommés le 05 avril 2024. 

Le Chef de l’Etat a demandé au Gouvernement d’accélérer la réalisation intensive et cohérente du PROJET en travaillant avec précision, diligence, méthode et efficacité à la satisfaction des populations et au mieux des intérêts du Sénégal. 

Le Président de la République a insisté sur le rôle, l’action et la responsabilité du Gouvernement, institution qui doit toujours s’arrimer au respect de l’Etat de droit et aux valeurs panafricaines historiques qui entretiennent notre vie en société, au regard de la montée en puissance des impatiences et des exigences des populations.

Le Chef de l’Etat a notamment rappelé la nécessité de définir et de mettre en œuvre une politique inspirée par le « PROJET » DE TRANSFORMATION SYSTEMIQUE DU SENEGAL, décliné en cinq (5) orientations majeures. Ces dernières doivent s’ériger en axes prioritaires de l’action gouvernementale . Il s’agit de : 
1. la jeunesse, l’éducation, la formation, l’entrepreunariat et l’emploi des jeunes et des 
femmes ;
2. la lutte contre la cherté du coût de la vie et l’augmentation du pouvoir d’achat des 
ménages ;
3. la modernisation de la Justice, la protection des droits humains, la bonne gouvernance, la 
transparence, la reddition des comptes et l’amélioration de notre système démocratique et électoral ;
4. la souveraineté économique et la prospérité du Sénégal, l’exploitation optimale des 
ressources naturelles et le développement endogène durable des territoires ;
5.la consolidation de l’unité nationale et des solidarités dans un renforcement de la sécurité, de la paix et de la stabilité du pays. 

Dès lors, le Président de la République a demandé au Premier Ministre, sur la base du PROJET et des orientations présidentielles sus indiquées, de finaliser, avant la fin du mois d’avril 2024, le Plan d’actions du Gouvernement, avec un agenda précis de réalisation des objectifs fixés.

Dans cette perspective, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre de veiller à la mise en place effective et rapide des Cabinets ministériels et de proposer, pour chaque ministère, une nouvelle organisation rationnalisée et des nominations qui sont conformes aux réformes et des objectifs sectoriels validés.

Le Président de la République a également demandé au Premier Ministre de:

– procéder à une revue générale des programmes et projets, du capital humain (audits des recrutements et des ressources humaines) et des ressources budgétaires dans chaque ministère:

faire la situation générale des finances publiques (conformément à la Code de Transparence dans la gestion des finances publiques), de la coopération internationale (l’état de toutes les conventions de financement signées) et des Partenariats Public-Privé:

-engager, sans délai, avec le secteur privé (national notamment), la mise en œuvre d’une politique hardie de relance de l’économie nationale;

-changer le référentiel de politique économique et sociale avec la consécration du PROJET: préparer le programme législatif et réglementaire du Gouvemement à partir des textes et de

l’agenda d’adoption proposé par chaque ministère.

Enfin, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre de repenser l’organisation et le fonctionnement de l’Administration et du secteur parapublic; et d’accentuer la réforme du service public autour de la digitalisation des des procédures res et de la transformation numérique des structures.

Le Président de la République a ordonné la tenue d’un Séminaire gouvernemental de cadrage global de l’action de l’Etat, ainsi que le développement d’une Stratégie de communication gouvernementale innovante, basée sur l’anticipation, la précision des messages, mais surtout sur l’appropriation des politiques publiques par les populations, qui doivent rester au cœur des interventions du Gouvernement.

A ce titre, le Chef de l’Etat a invité les membres du Gouvernement à rester humbles et sobres, à cultiver l’écoute, l’efficacité, dans la collégialité et la solidarité, afin d’assurer la réalisation soutenue du PROJET.

Le Président de la République a par ailleurs partagé avec les membres du Conseil, la lettre d’orientations qu’il a adressée aux fonctionnaires et agents de l’Administration du Sénégal.

Clôturant sa communication, le Président de la République a adressé, en cette veille de Korité, marquant la fin du mois béni de Ramadan, ses chaleureuses félicitations et ses meilleurs voeux à la Oumah Islamique. Il a prié pour un Sénégal de Paix, de solidarité de prospérité et de progrés.

Dans sa communication, le Premier Ministre a tenu à féliciter le Chef de l’Etat pour sa brillante élection à la magistrature suprême du Sénégal. Il a également remercié le Président de la République pour sa confiance le plaçant à la direction du Gouvernement et réitéré son engagement permanent et celui de l’ensemble du Gouvernement à œuvrer, sous l’autorité du Président de la République, à l’accomplissement du PROJET collectif et souverain au service des sénégalaises et des sénégalais.

Fait à Dakar, le 09 avril 2024

Le Ministre de la Formation Professionnelle, Porte-Parole du Gouvernement

Amadou Moustapha Njekk SARRE

Ousmane Sonko nommé Premier ministre

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Sans grande surprise, Ousmane Sonko est nommé Premier ministre par le président Bassirou Diomaye Faye. L’information a été partagée avec la presse cette nuit au palais de la présidence par le nouveau président élu.

Sénégal : Ousmane Sonko devient le chef du gouvernement

Ousmane Sonko prend les rênes du nouveau gouvernement pour servir auprès de Bassirou Diomaye Faye. cet acte majeur du président de la République répond à l’article 49 de la Constitutions qui stipule : « Le président de la République nomme le Premier Ministre et met fin à ses fonctions. Sur proposition du Premier Ministre, le président de la République nomme les Ministres, fixe leurs attributions et met fin à leurs fonctions ».

Discours de Prestation de Serment Président Bassirou Diomaye Diakhar FAYE

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« CENTRE DES EXPOSITIONS DE CICAD

SEM. Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, Président de la République islamique de Mauritanie et Président en exercice de l’Union africaine,

– SEM. Nana Addo Akufo-Addo, Président de la République du Ghana,

– SEM. Adama Barrow, Président de la République de Gambie, – SE. Dr Julius Maada-Bio, Président de la République de Sierra Leone,

– SEM. Umaro Sissoco Embalo, Président de la République de Guinée Bissau,

– SEM. Général de Corps d’Armée Mamadi Doumbouya, Président de la République de Guinée,

– SE. Jose Maria Pereira Neves, Président de la République de Cabo Verde,

– SEM. Bola Ahmed Tinubu, Président de la République Fédérale du Nigeria,

– SEM. Tiémoko Meyliet Koné, Vice-président de la République de Côte d’Ivoire,

– SE. Colonel Malick Diaw, Président du Conseil National de Transition de la République du Mali,

– SEM. Ousmane Bougouma, Président de l’Assemblée législative de la Transition du Burkina Faso,

– SEM. Edouard Ngirente, Premier Ministre de la République du Rwanda,

– SEM. Aziz Akhannouch, Premier Ministre du Royaume du Maroc ; 

-SEM. Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l’Union africaine,

– M. Omar Alieu Touray, Président de la Commission de la CEDEAO,

– M. Abdoulaye DIOP, Président de la Commission de l’UEMOA.

Monsieur le Président de l’Assemblée nationale,

Monsieur le Premier Ministre,

Madame la Présidente du Haut Conseil des Collectivités territoriales,

Monsieur le Président du Conseil économique, social et environnemental,

Monsieur le Président du Conseil constitutionnel,

Madame, Messieurs les membres du Conseil constitutionnel,

Mesdames, Messieurs les Ministres d’État,

Mesdames, Messieurs les Ministres,

Monsieur le Premier Président de la Cour Suprême,

Monsieur le Procureur général près la Cour suprême,

Mesdames, Messieurs les membres du Corps diplomatique,

Mesdames, Messieurs les députés,

Mesdames, Messieurs les membres du Haut Conseil des Collectivités territoriales,

Mesdames, Messieurs les membres du Conseil économiques, social et environnemental,

Autorités administratives, territoriales, religieuses et coutumières,

Distingués hôtes, Mesdames, Messieurs,

Je voudrais, à l’entame de mon propos, vous saluer Excellence messieurs les chefs d’Etat pour l’amitié et l’honneur que vous nous faites en rehaussant de votre présence cette cérémonie d’investiture. Au nom du peuple Sénégalais et en mon nom personnel, je vous souhaite un agréable séjour au Sénégal, pays de la Téranga.

Mes remerciements vont aussi à tous les pays amis et Institutions partenaires qui ont envoyé des délégations ainsi qu’à tous nos invités.

Monsieur le Président du Conseil Constitutionnel, je voudrais vous remercier et remercier les membres du Conseil, pour vos félicitations et vos propos bienveillants. Je voudrais souligner et apprécier, le rôle important joué par votre institution dans le bon déroulement du processus électoral jusqu’à son terme.

Le 24 mars 2024, le peuple Sénégalais a voté dans le calme et la sérénité, faisant de moi le 5ème Président de la République du Sénégal, dès le premier tour, avec 54, 28% des suffrages valablement exprimés. Je mesure le poids de la responsabilité et la gravité de la charge. Qu’il me soit permis de rendre grâce à Dieu, Tout puissant, le maître des destins et d’exprimer ma profonde gratitude à ma famille pour son soutien indéfectible et au peuple Sénégalais pour la confiance placée en moi. Ce grand peuple que nous sommes, au prix de vies perdues, de blessures irréversibles, de libertés confisquées et de carrières brisées a démontré, à maintes occasions et dans des moments critiques, son attachement à la paix et aux valeurs républicaines .

En m’adressant à vous ce jour, il me vient le souvenir douloureux des martyrs de la démocratie sénégalaise, des amputés, des blessés et des anciens prisonniers. Je garderai toujours à l’esprit, les lourds sacrifices consentis afin de ne jamais vous décevoir. Hommage doit aussi être rendu à nos ainés qui se sont battus pour l’avènement de la démocratie au Sénégal. Ils ont posé les solides fondements d’une nation indépendante et d’un État de droit secoué par moments mais toujours debout. Nous leur sommes redevables pour les valeurs de liberté, de justice et de progrès qu’ils nous ont données en héritage. C’est pourquoi, il est essentiel que nous connaissions, « les succès et les échecs de nos devanciers, les chemins humbles qu’ils ont suivis puisque nous sommes la résultante de tous leurs efforts. ».

Voilà pourquoi, en définitive, c’est le Sénégal qui a gagné le 24 mars 2024. Je suis conscient que les résultats sortis des urnes expriment un profond désir de changement systémique. A travers mon élection, le peuple sénégalais s’est engagé, dans la voie de la construction d’un Sénégal souverain, juste et prospère, dans une Afrique en progrès. Et dans cette œuvre de construction d’un Sénégal nouveau, je travaillerai inlassablement à la préservation de la paix et de la cohésion nationale. Je garderai à l’esprit que notre ressource la plus précieuse demeure la stabilité politique de notre pays.

Je mobiliserai les sénégalais d’ici et de la diaspora autour d’un projet national fédérateur et orienté vers un futur serein. Un projet national respectueux des identités spécifiques, compris et partagé par tous, dans un esprit de solidarité, pour le bonheur de tous.

Je m’engage, par la promotion du culte du travail, de l’éthique de gestion, de la discipline et de l’amour de la patrie, à mettre résolument et durablement le Sénégal dans la voie du progrès économique et social.

Sur le plan africain, l’ampleur des périls sécuritaires et des nombreux défis que nous devons relever nous oblige à plus de solidarité. J’entends clairement la voix des élites décomplexées qui disent haut et fort notre aspiration commune à plus de souveraineté, au développement et au bien-être. Aux côtés de mes pairs, je réaffirme l’engagement du Sénégal à renforcer les efforts déployés pour la paix, la sécurité, la stabilité et l’intégration africaine. Aux pays amis et aux partenaires, je réitère l’engagement et l’ouverture du Sénégal à des échanges respectueux de notre souveraineté, conformes aux aspirations légitimes de notre peuple dans un partenariat mutuellement gagnant.

Le Sénégal, sous mon magistère sera un pays d’espérance, un pays apaisé, avec une justice indépendante et une démocratie renforcée. Telle est ma promesse, sur la foi du serment que je viens de prêter devant cette auguste assemblée.

Messieurs les chefs d’Etat, vice-Président, Chefs d’Etat et de gouvernements ;

Mesdames les Premières dames, Mesdames,

Messieurs les Chefs de délégations,

Mesdames Messieurs Je vous remercie de votre aimable attention.

Le Conseil constitutionnel proclame Bassirou Diomaye Faye, Président de la République du Sénégal

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Le Conseil constitutionnel proclame Bassirou Diomaye Faye, est élu Président de la République du Sénégal.

Dans sa décision les 7 sages informent qu’aucune contestation n’a été notée après le délai de la proclamation des résultats provisoires par le tribunal de la Cour d’appel de Dakar.

La candidat de la coalition Diomaye Président est élu au premier tour avec 54,28%.

Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre de l’Intérieur: « Je regrette… »

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Mouhamadou Makhtar Cissé, est l’artisan de l’élection presidentielle du 24 mars 2024. Crainte par plusieurs, avec notamment le risque de violence qui planait, la Présidentielle de ce dimanche 24 mars est passée sans accroc. Bassirou Diomaye Faye a été élu dès le premier tour et tous ses adversaires ont reconnu sa victoire dans les heures qui ont suivi. Cependant, le ministre de l’Intérieur, Mouhamadou Makhtar Cissé, nommé deux semaines seulement avant le scrutin, garde un seul regret de l’organisation de ce vote.
« Quand un électeur n’arrive pas à voter, c’est un regret. Je ne parle même pas quand il y a des dizaines d’électeurs qui n’ont pas pu voter. Ça fait partie des choses à améliorer pour les prochains scrutins. Il y a également des électeurs qui se sont présentés le jour du vote pour récupérer leur carte (d’électeur). Mais ce n’était pas possible car il fallait le faire au plus tard la veille. Mais à part ça, je n’ai pas connu de dysfonctionnement majeur », a déclaré le ministre de l’Intérieur. 
Pour Mouhamadou Makhtar Cissé, c’est la communication qui a fait défaut. « J’impute ces manquements à une défaillance dans la communication. C’est un regret que j’exprime, mais je le répète, ce sont des choses à améliorer pour les prochaines élections car chaque sénégalais doit pouvoir exprimer son choix », a ajouté le ministre nommé seulement deux semaines avant la Présidentielle.
On rappelle qu’à Keur Massar, par exemple, des centaines de personnes, voire des milliers, n’ont pu voter après que la localité est passée au statut de département. Plusieurs ont su que leur bureau de vote avait changé seulement le jour du scrutin. 

Madiambal Diagne: « Amadou Ba va appeler Bassirou Diamaye Faye pour le féliciter »

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Amadou Ba va parler. D’après le journaliste Madiambal Diagne, proche du pouvoir, le candidat de BBY aurait accepté sa défaite et aurait prévu d’appeler Bassirou Diomaye Faye pour le féliciter de sa victoire au premier tour de l’élection présidentielle.

« Amadou Ba va appeler Bassirou Diomaye Faye pour concéder sa défaite et féliciter le vainqueur de sa victoire dès le premier tour du scrutin », a écrit le journaliste ce lundi sur son compte réseau social X. 

A noter que dans une déclaration lue dimanche- soir, Amadou Ba refusait de faire un commentaire sur les premiers résultats. Il compte s’exprimer ce lundi à 12 heures. 

amadou ba

Présidentielle 2024: Diomaye loin devant

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Après plusieurs semaines d’incertitudes, les sénégalais ont voté ce dimanche 24 mars 2024, pour élire le futur président de la République. Une présidentielle qui, pour la première fois de l’histoire s’est déroulée sans le président sortant ; Macky Sall dont le mandat se termine le 2 avril, avait décidé de ne pas y prendre part. A l’occasion, les sénégalais ont encore démontré leur attachement aux valeurs de la démocratie, de la paix.

Dès les premières heures de la matinée, les centres de vote ont été pris d’assaut par une bonne partie de l’électorat, majoritairement composé de jeunes et de femmes. Cette forte affluence a positivement dénoté sur le taux de participation qui dépasse de loin les 50 points. Très «ouvert», ce scrutin qui s’est globalement déroulé dans le plus grand calme et la plus grande sérénité, s’est littéralement «refermé» autour de deux candidats. En effet, après les premiers dépouillements, les premières tendances étaient favorables à un duo de tête : Bassirou Diomaye Faye de la coalition ‘’Diomaye Président’’, figure emblématique de l’opposition et Amadou Ba, candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby), au pouvoir depuis 2012.

Loin derrière ce couple, les candidats Khalifa Sall, Idrissa Seck et Aliou Mamadou Dia, se disputent la troisième place, réservé aux éventuels «faiseurs de roi» en cas de second tour. En attend la publication des premiers résultats provisoires par la Cour d’appel de Dakar, les partisans de
Bassirou Diomaye Faye savourent déjà une victoire avant la lettre. Ils ont été réconfortés dans leur position par la sortie du candidat Mamadou Lamine Diallo qui n’a pas tardé à féliciter Dio- maye Faye. «Les tendances montrent que Bassirou Diomaye Faye a gagné au premier tour. Il devient le cinquième président du Sénégal. Je le félicite chaleureusement ainsi que Ousmane Sonko», a écrit le président du Mouvement Tekki.

Grand rush au niveau des centres de vote de Dakar, Thiès, Mbour …

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Les citoyens Sénégalais en envahi tôt leurs bureaux de vote. Un Grand rush noté dans les centres de vote de Dakar et Thies, Mbour , Tivaoune. Les électeurs, tous à âges confondus ont envahi le matin de bonheur leur lieu de vote pour accomplir leur devoir citoyen . Le vote a démarré dès 8 heures

Election présidentielle 2024: Les Sénégalais votent ce dimanche

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Les Sénégalais se rendent aux urnes le 24 mars 2024 pour élire leur 5e président. Au total, 19 candidats sont en lice pour le fauteuil de président de la République du Sénégal.

C’est la première fois qu’un tel nombre de candidats est enregistré. Ils étaient cinq lors de la dernière élection présidentielle en 2019, quatorze en 2012, 15 en 2007 et 8 lors de la de la première alternance en 2000 et en 1993.

Cette élection revêt un caractère inédit, car pour la première fois dans l’histoire politique du Sénégal, le chef de l’Etat sortant ne sera pas candidat.

Le président Macky Sall a annoncé en juillet 2023, après de longs mois d’incertitude, qu’il ne briguera finalement pas de troisième mandat invoquant un « code d’honneur » même si, selon lui, la constitution lui accorde le droit de se présenter pour « un second quinquennat. » La Constitution limite à deux le nombre de mandats consécutifs.

Pourquoi cette élection présidentielle est-elle spéciale ?

Qui succédera à Macky Sall et deviendra le prochain président de la République du Sénégal ?

Quand aura lieu l’élection présidentielle ?

Initialement prévue le 25 février 2024 avant d’être reportée, l’élection présidentielle au Sénégal aura finalement lieu le dimanche 24 mars 2024. Ce sera la douzième depuis l’indépendance du pays en 1960. Environ 7,3 millions d’électeurs sont inscrits sur les 18 millions d’habitants.

Lors de la dernière présidentielle en 2019, ils étaient 6 683 043 électeurs inscrits dont 4 428 680 votants, selon les résultats officiels publiés par le Conseil constitutionnel.

Quel est le mode de scrutin ?

Le président de la République du Sénégal est élu pour un mandat de cinq ans, au suffrage universel direct et au scrutin uninominal majoritaire à deux tours.

Initialement de sept ans, la durée de son mandat a été réduite à cinq ans renouvelable une seule fois, suite au référendum constitutionnel de 2016.

La Commission électorale nationale autonome (CENA) est chargée d’organiser et de superviser les élections.

Si, au premier tour, aucun candidat n’obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, un second tour sera organisé le troisième dimanche suivant le jour de la proclamation officielle des résultats par le Conseil constitutionnel, pour départager les deux candidats arrivés en tête au premier tour.

Etat de santé de Boun Dionne: Le Directoire de campagne de la coalition Dionne 2024 dément les rumeurs 

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Annoncé mort, Boun Abdallah Dionne respire la forme

 A travers un communiqué de presse rendu public ce jeudi 21 mars, « le directoire de campagne de la coalition Dionne2024 dément formellement l’information selon laquelle le candidat Mahammed Boun Abdallah Dionne serait gravement malade ». Cette note est donc rendue publique pour couper courts aux rumeurs qui ont fini de faire le tour de la toile.

Dans ce même document, le directoire tient à préciser que « le Président Mahammed Boun Abdallah Dionne est et reste dans la course à la présidentielle du 24 mars 2024. Nous informons les Sénégalais qu’il est bien portant, reçoit des leaders politiques de tous bords pour renforcer sa grande coalition et est en contact permanent avec les membres de son Directoire de campagne ».

Présidentielle 2024: Le candidat recalé Mamadou Yatassaye n’est plus

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Mamadou Yatassaye, le candidat recalé à la présidentielle de 2024 est décédé ce jeudi. 

La nouvelle de sa disparition a été confirmée par son mandataire Ousmane Senghor.