C’est devenu une tendance. Le procédé a prospéré ailleurs en Afrique (Mali, Tchad, Congo, Gabon, Soudan, Zimbabwe). Il s’agit voir la connexion Internet totalement coupée ou, à tout le moins, sensiblement ralentie pendant les jours de scrutin.
Loin d’être un oiseau de mauvais augure ou de se la jouer parano, l’Association sénégalaise des utilisateurs des Tic (Asutic) redoute le même scénario le jour de la présidentielle.