Doué d’un sens imaginatif très spectaculaire, le chanteur malien Sidiki Diabaté a su tirer profit de son bad buzz, né après une faute d’orthographe commise sur Instagram.
Tout est parti d’un simple post Instagram de Sidiki Diabaté. Dans l’objectif de rendre un hommage mérité à un jeune « peintre » pour un portrait que ce dernier venait de lui présenter, la star malienne s’est mélangée les orthographes. En effet, dans son message de remerciement il a écrit : « Aidez-moi à remercier ce pintre » au lieu de « Peintre ». Cette faute orthographique lui a valu la critique des internautes ivoiriennes qui se sont royalement moqués de lui. Mais intelligent qu’il est, Sidiki Diabaté a retourné la situation en sa faveur en livrant en pâture sur la toile, la chroniqueuse sur C’Midi, Alisar Zena.
En effet, Alisar Zena tentait de corriger une faute commise par Sidiki Diabaté mais en a fait pire que l’artiste abonné aux fautes sur sa page Facebook. Toute joyeuse sur le plateau de la RTI, la chroniqueuse avait épelé « peintre »en donnant sa propre-bonne écriture du mot à savoir P.A.I.N.T.R.E. Une faute qui l’a plongé dans les mailles de la critique, sauvant ainsi, l’honneur de Sidiki Diabaté.
Mais le plus émouvant dans cette histoire, est que Sidiki Diabaté a enregistré dans la foulée un single qui est devenu viral en l’espace de quelques jours avec pour teasing un message vidéo depuis son studio adressé à Alisar Zena, la chroniqueuse de la RTI.