Annoncé mor sur les réseaux sociaux, Le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse se signale. Il a puisé dans un jargon dont lui seul à le secret pour descendre ses détracteurs et les adeptes des mauvaises langues.
« Ma fille Anta, salam. l’internet a aussi ses revers. Ton papa est plus vivant que les dimbs du Saloum dont les feuilles volent au vent, caressées par cette brise qui couvre le Lac de Koutango. Alhamndoulilahi », dans une note rédigée pour sa fille Anta.
« Il y a des adeptes de Lucifer, vermines mal inspirées, insectes impurs, ténébreux reptiles, héritiers de la honte et du nom des Zoelles », a-t-il tonné, puisant au fond de lui tout ce dégoût envers ses détracteurs.
Toujours dans sa note, il crache: « n’est-il pas vrai que tout astre qui brille là haut, a son ombre, ici-bas? « .
C’est ma réponse à ces oiseaux de mauvais augure. « Je me porte à merveille. Par la grâce d’Allah. Yalla bakhna. Allahou Akbar ».alla.alla bakhna. Allahou Akbar ».