« Quand des organes de presse répandent des contrevérités infamantes, ce ne sont plus des journalistes, ce sont des organes d’influence ». Cette phrase du président français Emmanuel Macron vient illustrer la posture du Journal « Le monde » qui, pour des raisons pécuniaires ou de propagande, se positionne comme un organe d’influence en produisant des contrevérités sur la personne du Président Ousmane Sonko.
En donnant la parole à une seule partie dans l’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr, « Le Monde » fait une grave entorse aux règles de déontologie du journalisme qui sont basées sur l’équité et l’équilibre. Comment un journal aussi réputé peut-il commettre un acte aussi ignoble qui le discrédite ? Il doit y’avoir bien un but dans cette campagne de mensonge.
En voulant peindre une garce comme femme modèle « Le Monde » a fait tout sauf du journalisme avec cette interview et c’est vraiment dommage que le mythique journal « Le Monde » tombe de si bàs. Ce journal a insulté toutes nos braves mères, sœurs cousines qui travaillent dignement au quotidien pour vivre à la sueur de leurs fronts. Il est devenu une habitude dans ce pays de promouvoir la médiocrité. Les commanditaires doivent de cet article doivent être démasqués et traduits en justice. Une communication ratée, « Le Monde » se fait berner ou agit à dessein?
Si l’interview de la fille était de ternir l’image de Ousmane Sonko, force est de constater que c’est peine perdue. La stratégie de communication mensongère ou de négation fonctionne si et seulement si l’émetteur détient à lui seul les preuves ou la source de l’information. Elle se dit être violée alors que le rapport médical établi par le Gynécologue Alfouseyni Gaye de l’Hopital General Idrissa Pouye dit littéralement :
« Je soussigné, agissant sur réquisition N°091/02/SR du 03/022021 aux fins d’examiner la nommée Adji Sarr née le 03/03/2000.
Elle a été reçue dans notre service ce 03/02/2021 à 16 heures 15mn.
L’examen de ce jour ne retrouve pas de lésion vulvaire déchirure ancienne de l’hymen sur 3h 7h et 11h.
Des prélèvements ont été fait en vus de tests ADN.
Au total : déchirure ancienne de l’hymen.
Rapport établi pour servir et faire valoir ce que de droit ».
Le Gynécologue
Alfouseyni Gaye,
Il apparait clairement dans ce rapport qu’il y’a pas eu de viol. Mieux encore, la fille dit, devant son avocat et un pseudo brillant journaliste sur Leral TV, qu’elle était enceinte. Si on tient on à ses dires, elle est actuellement à son quatorzième mois de grossesse. 14 mois de grossesse ? De quelle espèce parle-t-on ici ? Humaine ? Animale ? A-t-elle avorté, ce qui constituerait un crime car, le Sénégal n’a pas autorisé l’avortement.
Quel était le but de cette interview 
Constatant que leur complot, sur un supposé viol, n’a pas empêché Ousmane Sonko et sa coalition d’enregistrer une victoire éclatante aux élections locales du 23 janvier, 2022, il faudra trouver rapidement un moyen de l’affaiblir avant les législatives et éventuellement l’écarter définitivement pour l’élection présidentielle de 2024.
En bon média-planneur, ils ont ciblé trois médias, Le Monde, Jeune Afrique, RFI et j’en ajouterai France 24, qui lors du sommet de la paix à Dakar, a tendu le micro au président de la République Macky Sall et Khalifa Sall, écartant ainsi le président Ousmane Sonko, l’actuel chef de l’opposition dans les discussions et l’accusant même de refuser de signer la charte de la non-violence.
L’évidence saute aux yeux : la mission est claire, tout sauf Ousmane Sonko en 2024! Dès lors, diaboliser Ousmane Sonko, tenir son image sont devenus maintenant leur jeu favori. Autant il est évident que Jeune Afrique, média chasseur de prime, France 24 et RFI, outils de propagande de la France en Afrique et dont les budgets de fonctionnement viennent directement du Quai d’Orsay appuieraient la France et le président Macky Sall dans leur campagne de liquidation du président Ousmane Sonko, autant il est choquant de voir le journal « Le Monde », un journal aussi réputé, tendre le micro à une gamine mythomane qui se perd dans ses déclarations. Continuez dans vos mensonges mais au Sénégal, le Ousmane Sonko que l’on connait est une chance et une source d’inspiration de toute une jeunesse.
Qui est Ousmane Sonko ? Parcours et discours
Ousmane Sonko, est un ancien inspecteur des impôts et domaines radié à causes de ses prises. Ses anciens collègues le décrivent comme un homme rigoureux, honnête, digne et d’une probité morale exceptionnelle. Sa famille et ses proches comme un père de famille exemplaire, homme ouvert, bien éduqué, et pieux comme nous aimons tous l’appeler affectueusement Seydina Ousmane mou sell mi (Ousmane Sonko, l’incarnation de la pureté, un homme qui craint Dieu contraire à tous ces mécréants qui l’accusent à tort et à raison). Voulant être la voix des opprimés, Ousmane Sonko a été syndicaliste et aujourd’hui, il voit la politique avant tout comme élément de développement économique, social et une mission divine pour venir en aide son peuple. Il l’a répété, à plusieurs reprises, qu’il n’est pas obnubilé par le pouvoir mais vu les nombreux détournements et la gabegie dans la gestion de nos derniers publics, il serait lâche de rester spectateur.
Encore va-t-il ajouter qu’on ne peut pas imputer toute la responsabilité de notre sous-développement à la France, car ce n’est pas elle qui détourne nos derniers publics. Très tôt, il comprend tous les bienfaits qu’on peut tirer de la politique, et en 2014, il est choisi par un groupe de jeunes intellectuels pour diriger le parti Pastef. Son ascension va crescendo au fil des ans. 2017, il devient député, enregistre un score inédit de 15% aux élections présidentielles malgré les irrégularités. Au soir du 23 janvier 2022 avec la coalition Yewwi Askan Wi, ils infligent au pouvoir sa plus lourde défaite en gagnant presque toutes les grandes villes du Sénégal et Ousmane Sonko devient maire de la ville de Ziguinchor.
Aujourd’hui, les jeunes l’admirent. Et il y’a de quoi. 15 ans dans l’administration sénégalaise sans devenir milliardaire ni millionnaire et sans commettre la moindre faute (détournement ou corruption), Ousmane Sonko est acharné au travail et a envie de servir encore le Sénégal. C’est ce désir ardent de voir le Sénégal développé qui fait de lui un leader charismatique et un exemple que les jeunes ne demandent qu’à suivre. Voila pourquoi, il dérange tant au point qu’ils veulent le liquider.
La rançon de l’engagement et d’être opposant en Afrique : la mort ou la prison
Dans de pareilles circonstances, il serait bien d’évoquer un peu l’histoire pour comprendre les vrais enjeux. Durant l’époque coloniale, la France, avec la complicité d’une élite africaine, a commis les crimes les plus odieux en Afrique et en particulier au Sénégal allant de l’esclavage, la traite négrière jusqu’aux massacres dont le plus célèbre est celui du camp de Thiaroye en 1944. Aujourd’hui, même avec l’indépendance, les pratiques continuent toujours, les chefs de l’opposition des pays africains qui sont hostiles à la politique française sont brimés, emprisonnés ou même tués sans que justice soit faite. Thomas Sankara, Mamadou Dia, Cheikh Anta Diop, ont payé les frais et aujourd’hui Ousmane Sonko est sur la ligne de mire.
Le président Ousmane Sonko a posé des actes forts : d’abord par sa volonté de sortir du franc CFA une fois élu président de la République du Sénégal. Ensuite, récemment élu maire de la ville de Ziguinchor, il a procédé à la « débaptisation » de certaines rues de la ville pour « restaurer une dignité nationale ». L’acte posé par Ousmane Sonko, lui vaut-il cet acharnement supplémentaire venant de certains médias français ? La France doit changer sa politique internationale et d’arrêter de s’immiscer dans les affaires internes de ses anciennes colonies, jusqu’à même choisir les dirigeants ou d’être en connivence avec certains de ces dirigeants.
Les temps ont changé et la démocratisation de l’information grâce aux réseaux sociaux fait que la manipulation des médias traditionnels ne fonctionne plus. Soyez au côté du peuple sinon mettez-vous à l’écart car, nous n’accepterons plus que l’on nous impose un dirigeant. La nouvelle génération africaine, principalement sénégalaise est consciente, rien n’arrêtera cet élan patriotique et révolutionnaire. Toutes les relations avec l’occident doivent se baser sur un partenariat sincère et non sur un rapport de domination entre colonisateur et colonisé où il n’y a que la corvée! Restons mobilisés, force restera au peuple!