C’est dans la nuit du jeudi aux environs du 3 heures du matin qu’un groupe de militaires bérets rouges lourdement armés est venu s’attaquer aux deux camps militaires.
La première attaque eu lieu au Camp Samoreya où le commandant Mamady Condé, chef de corps dudit camp à été tué. Les assaillants ont emporté sa voiture et le magasin d’armement défoncé.
Des armes et des véhicules pick-up ont été pris par ces mêmes assaillants, a-t-on appris.
Après, ils ont pris la direction du Camp Kémé Bouréma où ils ont voulu tuer aussi le général Ibrahim Kalil Condé, commandant de la 1ère région militaire qui a échappé de justesse à cette cible d’attaque.
De là, les présumés mutins sont venus ensuite s’attaquer à la prison civile où il y a eu des échanges de tirs. Sur place un garde pénitencier a été blessé par balle, des prisonniers libérés, rapporte notre source.
Pour l’instant, ces assaillants n’ont pas été encore identifiés et dans la ville, c’est la psychose totale.