Dans quelques jours, Donald Trump quittera officiellement le bureau ovale de la maison blanche et laissera la place à Joe Biden. Ces derniers jours, le magnat de l’immobilier a tenté le tout pour le tout afin de faire annuler les résultats du suffrage dans l’État de Géorgie. le locataire de la maison blanche a même contacté directement le responsable des votes en Géorgie pour lui signifier qu’il y a eu des irrégularités dans le comptage des voix. Les médias américains ont relayé l’information et il se trouve que le responsable des votes en Géorgie n’a pas cédé aux pressions du futur ex-locataire de la maison blanche.
La dirigeante écossaise met les choses au clair
Le 20 janvier prochain, Joe Biden deviendra officiellement le 46e président des États-Unis. En attendant, Donald Trump profite des quelques jours qui lui restent à passer dans le costume de président de la nation la plus puissante du monde. Il se pourrait bien que l’un des derniers voyages officiels du magnat de l’immobilier se fasse en Écosse. En effet, des médias américains et écossais ont révélé que l’avion présidentiel américain va atterrir sur le tarmac de l’aéroport de Prestwick (Écosse) ce 19 janvier soit la veille de l’investiture de Joe Biden.
Les médias ont déclaré que Donald Trump va se rendre en Écosse pour visiter le Trump Turnberry, qui est l’un des deux parcours de golf du magnat de l’immobilier en Écosse. A noter que l’Écosse est frappé de plein fouet par la pandémie du coronavirus et ce Mardi 05 janvier, la Première ministre écossaise a fait le point de la situation épidémiologique dans son pays. Au cours d’une conférence de presse, la dirigeante écossaise s’est exprimée sur la prochaine venue du président américain.
Nicola Sturgeon a déclaré que le milliardaire républicain devrait s’atteler à transmettre convenablement le pouvoir à Joe Biden. A cause de la crise sanitaire, les voyages vers l’Écosse sont suspendus sauf pour les voyages essentiels. Sturgeon a indiqué qu’à l’instar des autres voyageurs, Donald Trump sera soumis aux mêmes règles restrictives à savoir que seuls les voyages essentiels seront autorisés. « Cela s’applique à lui comme à n’importe qui d’autre » a laissé entendre la dirigeante écossaise. Donald Trump est donc prévenu.