«Lors du passage en force de la réforme constitutionnelle de mars 2016, j’avais soulevé la question des « droits d’autrui » glissée subrepticement par Macky Sall, et dont la seule signification est le respect des droits des homosexuels. Nous nous sommes battus de manière courageuse ; la constitution de Macky Sall, coaché par le tailleur IMF Ismaila Madior Fall, a été rejetée à Touba et Sédhiou et est passée de justesse par la manipulation du vote à Dakar.
C’est le coup d’envoi de la mise en œuvre de l’agenda gay au Sénégal pour l’imposer au peuple et à la jeunesse. La méthode est vicieuse, elle passe par l’introduction dans la loi de dispositions favorables aux LGBT. C’est le rôle du secrétariat aux droits de l’homme. Le code de la presse en son article 18 interdit aux journalistes de parler de l’orientation sexuelle des personnes. Ensuite, c’est l’idéologie genre qui doit rentrer dans la vie du Sénégalais, les enfants à l’école et dans la famille. Le ministère du genre est créé pour et travaille avec le ministère de l’éducation nationale.
Voilà le dispositif institutionnel du régime de Macky Sall pour créer un Sénégal Pro Gay. Un membre du Conseil Régional de l’Île de France en visite à Dakar avait annoncé qu’il y aurait des candidats pro Gay à la présidentielle 2012. Je pense que le parrainage est un tri organisé pour s’assurer désormais, que seuls des candidats pro Gay seront éligibles. Le peuple y est opposé, soutenu par l’Eglise et les autorités religieuses. Nous attendons la signature publique de la pétition de “And Samm Jikko Yi ” (ASJ)par Macky Sall et Moustapha Niasse de BBY».
Mamadou Lamine Diallo, extrait Questekki numéro 253 du mardi 01 juin 2021