Besoin factuel d’une purification et d’un « SANGUATTE généralisé » de la presse Sénégalaise dans tous ses compartiments. Le chantage, le complot, l’injustice, la stigmatisation, le prosélytisme et le « BASHING » systématique exercés sur la personne d’Ousmane SONKO doivent cesser immédiatement, puisque injustes et injustifiés. Une presse comme celle du patron de la presse Sénégalaise, Monsieur Macky SALL et de Cheikh Yérim SECK, est à bannir définitivement au Sénégal. Macky SALL, le patron de la presse Sénégalaise veut manu militari imposer une dictature au Sénégal. Peine perdue, pour la bonne et simple raison que, les dignes fils du Sénégal ne l’accepteront jamais (les évènements du mois de mars 2021 en sont une preuve factuelle). L’affaire Adji SARR est un artéfact, complotée au sommet de l’ETAT du Sénégal. Depuis le début de cette affaire , Ousmane SONKO a été disculpé par le certificat médical fourni par le Docteur Alfousseynou GAYE, le rapport interne de la gendarmerie Sénégalaise qui démontre clairement qu’il y’a un complot et que l’ancien procureur de la république Bassirou GUEYE falsifiait les PV d’auditions des témoins pour incriminer Ousmane SONKO, les audios de MC NIASSE remis au doyen des juges Maham DIALLO, les témoignages de tous les témoins sont en faveur de Ousmane SONKO, Oust j’en passe. L’accusatrice n’apporte aucune preuve factuelle, à part sa parole mensongère. Sachant qu’en matière de justice, les paroles verbales d’Adji Raby SARR (atteinte par le syndrome de MUNCHAUSEN) n’ont aucun sens juridique. Il faut impérativement une preuve, et concernant cette affaire, il n’y a pas un début d’une once de preuve. Que des mensonges, oust j’en passe, quelle honte ! Un réveil national est plus que jamais nécessaire pour mettre fin à la dictature imposée aux Sénégalais par Macky SALL, à la politique politicienne et au scandale tsunamique du siècle qu’est l’affaire ADJI RABY SARR (que des mensonges). La justice Sénégalaise est à genou, je vais même plus loin pour dire qu’elle est à terre. Faisons la politique autrement en arrêtant le mensonge généralisé et banalisé dans l’échiquier politique. Les dignes fils du Sénégal n’accepteront jamais un procès Khalifa Ababacar SALL ou Karim WADE bis pour éliminer un adversaire politique. Ousmane SONKO sera bel et bien candidat aux élections présidentielles de 2024, faute de quoi les Sénégalais descendront sur le terrain et apporteront une réplique ferme et inédit à Macky SALL, pire qu’au mois de MARS 2021. Et cette fois ci, les mêmes sorts de MUSSOLINI ET BEN ALI s’abattront sur Macky SALL. La presse Sénégalaise est une presse partiale qui défend ses propres intérêts et ceux de Macky SALL. L’opposition Sénégalaise est méprisée par cette même presse qui ne parle qu’en mal en direction de cette dernière (les injustices vécues par Khalifa Ababacar SALL, Karim WADE et Ousmane SONKO en sont les preuves). Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur l’incompétent ministre de la justice Ismaela Madior FALL qui incarne l’injustice et une justice à genou, je dirais même à terre ? Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur l’affaire Didier BADJI et Fulbert SAMBOU ? Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur l’affaire IMAM Alioune Badara NDAO (paix à son âme), Karim GUEYE KHRUM KHAK, et le professeur Cheikh Oumar DIAGNE ? Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur le rapport de la cour des comptes (COVID BUSSINESS) ? Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur l’affaire PRODAC (MAME MBAYE NIANG) ? Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur les injustices vécues par Pape Alé NIANG, le journaliste Adama GAYE et tant d’autres activistes ? Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur l’affaire BOUGAZELLI (TRAFIC DE FAUX BILLETS DE BANQUE)? Pourquoi la presse Sénégalaise ne se prononce pas sur l’affaire des 94 milliards de Mamour DIALLO ?,…, oust j’en passe ! Bref autant de questions qui prouvent que la presse Sénégalaise et son patron Macky SALL sont partiaux et ne sont là que pour leurs propres intérêts et non pour les intérêts de la population Sénégalaise qui souffre à outrance.
Force est de savoir que la majorité de nos concitoyens n’ose plus consulter un journal, ni visualiser une télévision Sénégalaise, aux ordres de leur patron Macky SALL. Pour la bonne et simple raison que le niveau de la presse Sénégalaise est devenu de nos jours très bas et souffreteux (Les Sénégalais préfèrent désormais consulter les réseaux sociaux pour obtenir la bonne information). L’un des pères fondateur du journalisme THEOPHRASTE RENAUDOT doit certainement s’indigner au fin fond de sa tombe en entendant les ragots et commérages qui secouent la presse Sénégalaise. La presse Sénégalaise est atteinte de plusieurs maladies que je surnomme volontiers « les chocs » : le choc de la manipulation, le choc de la corruption, le choc du mensonge, le choc de l’injustice, le choc de la méchanceté, le choc du complot, le choc de la partialité, le choc des commérages, le choc des ragots, le choc de la calomnie, le choc de la diffamation, le choc du chantage, oust ! J’en passe !
Face à ces chocs, le Sénégal ne pourra point connaitre l’émergence tant voulue par la jeune génération décomplexée du pays (un pays vaut souvent ce que vaut sa presse, cette dernière doit élever ce pays en élevant son langage). La presse Sénégalaise est devenue un fourre-tout, je dirais même plus qu’un « SABAR DJOU TASS », où l’on met n’importe quoi, n’importe où et n’importe comment. Le besoin d’un « FACT CHECKING » est primordial pour une presse de qualité souhaitant gagner la confiance de ses lecteurs. Une presse digne de ce nom doit impérativement s’inscrire dans une propension à éveiller, éclairer, élever le niveau du débat et surtout conscientiser les populations. En effet, il me semble opportun que ces méthodes (les chocs) à l’ancienne disparaissent et que l’on assiste enfin à une purification et un « SANGUATTE généralisé » de la presse Sénégalaise. Pour cela, il faudrait adopter cette triade : une indépendance, une éthique de responsabilité et une transparence au niveau de la presse Sénégalaise.
- L’indépendance : la presse ne doit surtout pas être sous les ordres du pouvoir en place, ni des Lobbies. Cette dernière doit être libre, sans conflits d’intérêts et s’éloignant des pouvoirs politiques et des puissances financières qui corrompent tout sur leur passage (éviter des scandales comme celui de l’affaire de PANAMA).
- L’éthique de responsabilité : oui à la liberté d’expression, oui à la liberté de la presse, mais accompagnée d’une sanction. D’où le couple tant contradictoire « liberté et autorité » (Dans l’article 11 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, où est énoncée la question de la liberté de la presse, y est bien stipulée une éthique de responsabilité). On ne peut nullement parler de liberté sans autorité. Les deux vont ensemble malgré leur dichotomie. Les journalistes se doivent de répondre de leurs actes. « Nul n’est censé ignorer la loi ».
- La transparence : la presse doit informer les populations sur toutes les décisions du pouvoir en place pouvant avoir une incidence directe sur leur vie publique. C’est d’ailleurs dans cette perspective qu’il faudrait nécessairement, un accès facile et rapide à toutes les sources documentaires. Dans cette dynamique, l’œcuménisme se veut de faire référence au FREEDOM OF INFORMATION ACT AUX ETATS-UNIS.
In fine, le mot d’ordre pour la presse doit être cette phrase qui résume le journalisme : Un journaliste n’est pas un enfant de chœur, ni un « NAFEKH », son métier n’est pas de faire plaisir, ni de faire du tort, au contraire il est de planter la plume dans la plaie.
En somme, « Entre Ousmane SONKO qui suscite autant d’espoir pour la jeunesse Sénégalaise et Macky SALL, le patron de la presse Sénégalaise, qui symbolise, la dictature, une presse des commérages et des ragots, je choisirais bien volontiers Ousmane SONKO et un espoir pour le développement du Sénégal ». Avec Ousmane SONKO, la psychogénèse ne répétera plus jamais la sociogenèse au Sénégal.
A bon entendeur salut !
NGOM EL HADJI ABASSE
Diplômé en master de science politique à la faculté de droit et de science politique de Montpellier (France). Mail : alajiass@live.fr