Depuis de nombreuses années, la communication ne cesse de connaître de nouveaux progrès à travers le monde. De la lettre postale en passant Internet, le monde est en pleine expansion avec des nouveautés. Ainsi, le traitement et la publication de l’information jouent aussi une grande part pour ne pas dire tout tourne autour de l’information.
Le journal papier a toujours été un excellent moyen de s’informer de l’actualité d’une zone et d’un domaine précis à l’époque; et continue de faire davantage jusqu’à présent. Mais depuis le début du 21e siècle, les tendances ont commencé à baisser pour le papier.
A place du papier, se positionnent les sites d’information. Au Sénégal, par exemple, ces dernières années, les sites d’information recensés avoisinent quelques 10 milles : de seneweb, leral, pressafrik à emedia, en passant par dakaractu, senenews, senego, igfm, sanslimites, dakarbuzz, laviesenegalaise, sunuker, senegal7, xalima, aps, rewmi, etc; le paysage sénégalais est plein de sites d’information.
Ainsi, le journal en papier qui se faisait un grand chemin, a du mal actuellement à se frayer un chemin « correcte ». Tout ce « malheur » ou « cauchemar » des quotidiens locaux à l’image de L’Observateur, Le Quotidien, Walf Quotidien et autres, n’est du qu’aux mutations et progrès notés dans la communication à savoir les Ntic.
Toutefois, les sites d’information font face à un grand problème: celui de l’authenticité des informations publiées. Car, les sites d’information sont les « champions » en diffamation et rumeurs. On en a vu de toutes les couleurs. L’exemple le plus récent l’annonce faite sur le budget du Sénégal. Beaucoup de sites comme seneweb, dakaractu, senenews, senego, leral, emedia, igfm, aps ont repris l’information sans la moindre vérification auprès des autorités concernées. Ceci a encore remis en cause la fiabilité des informations relayées par la presse en ligne.
Au contrairement aux sites d’information, les quotidiens eux, pour la quasi totalité, vont à la recherche des informations. Et ensuite les épluches, trient et diffusent comme le demande le métier. Ce qui n’est pas le cas avec la presse en ligne qui parfois s’adonnent au plagia (copier-coller) sans la moindre modification encore moins la vérification de l’authenticité de la nouvelle.
Il faut tenir en compte un autre aspect celui lié au temps. Car le principal défi des sites est la rapidité dans la publication des informations.