L’année 2021 commence avec la même hantise qui a ébranlé le monde en 2020: la pandémie du coronavirus. En effet, le spectre de cette maladie plane toujours au-dessus de la tête de l’humanité et tout porte à croire que le virus est plus dangereux que jamais. Ce qui est complexe avec ce virus c’est qu’il a un grand pouvoir de mutation. Au Royaume-Uni par exemple, une nouvelle variante de la maladie est en train de faire des ravages. Plusieurs pays ont donc décidé de fermer leurs frontières et liaisons aériennes avec la Grande Bretagne.
Les autorités sénégalaises sont sur le qui-vive
En Afrique du Sud aussi, une nouvelle souche du covid-19 est apparue et les autorités sud-africaines ont renforcé les mesures restrictives pour empêcher la propagation de cette nouvelle variante du coronavirus. Il est fort probable que cette année 2021 soit à nouveau impacté par la pandémie du coronavirus. Depuis le début de la pandémie, le Sénégal a enregistré 20000 cas de contaminations et ces dernières semaines, il y a eu une recrudescence du nombre des personnes infectées.
En Afrique de l’ouest, le Sénégal est l’un des pays les plus impactés par la pandémie. C’est dans ce contexte que le président sénégalais Macky Sall a décrété l’État d’urgence puis un couvre-feu dans les régions de Dakar et de Thiès. De plus, les autorités sont en train de mettre les bouchées doubles pour localiser de potentielles apparitions de nouvelles souches du virus. Pour parer à toute éventualité, le gouvernement sénégalais a demandé à l’Iressef ( Institut de recherche en santé de surveillance épidémiologique et de formation) et l’Institut Pasteur de Dakar de faire des études afin de montrer si le Sénégal abrite ou non une nouvelle souche du covid-19.
