Fadilou Keïta, membre du cabinet du leader de Pastef, a passé sa deuxième nuit au commissariat de Dakar, après un retour de parquet.
Il lui est reproché d’avoir « accusé ouvertement l’État du Sénégal d’avoir fait disparaître les deux gendarmes Didier Badji et Fulbert Sambou avant de maquiller leur mort en noyade au Cap manuel ».
« J’espère juste qu’ils n’ont pas tué mon frère », avait-t-il écrit dans un texte publié au lendemain de leur disparition.
Les membres du Pastef exige sa libération immédiate et sans condition.